Mustapha Mouman est avant tout un handicapé mental léger, qui bénéficie d’une allocation, met en avant son avocate Me Houria Zanovello. Un jeune homme « à qui il a fallu expliquer le sens de mots comme «occidentaux »ou «virtuels » ». Un psychiatre a évoqué un « risque de récidive et de passage à l’acte majeur ». L’avocate estime l’expertise « ni faite ni à faire ».
Son téléphone est « le jardin des horreurs » du djihadisme
par webmaster | Oct 15, 2018 | Droit penal